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Next up was the enfant terrible of interactive documentary, Alexandre Brachet of Upian. A pioneer of interactive content since 1998, we were given an insider view to pinnacle pieces such as Gaza-Sderot, Alma and their current project Do not track, an interactive series that really chimed a bell for us since it’s subject matter, privacy on the web, takes up the baton just where Polar Star Films’ Google and the World Brain and facebook app The World Brain left off

Fondée en 1998, Upian est un studio interactif et une société de production multimédia réputée pour ses webdocumentaires, primés à de nombreuses reprises - parmi lesquels Alma, une enfant de la violence, Prison Valley et Génération Quoi? Les 3 producteurs d'Upian - Margaux Missika, Alexandre Brachet et Gregory Trowbridge - nous livrent leurs secrets de fabrication et la manière dont ils développent leurs projets.

Established in 1998, Upian is a design studio and interactive production company known for its award winning projects including Alma: A Tale of Violence, Prison Valley, and Generation Quoi? For this interview three of Upian’s producers — Alexandre Brachet, Margaux Missika and Gregory Trowbridge — take us behind the screens as they describe their process and the development of their projects.

Le format "webdoc'" est en vogue, et comme on ne boude pas notre plaisir, Focus vous propose une liste de dix réalisations aussi innovantes que passionnantes. Découvrez les cinq premiers webdocumentaires de notre sélection; le plus poignant, le plus extrême, le plus 2.0, le plus claustrophobe et le plus tristement actuel.

Parce que cette histoire se raconte finalement mieux avec Internet, où elle acquiert une puissance d’évocation incomparable. Parce que les auteurs et les producteurs ont su trouver des solutions spécifiques et nouvelles pour transcrire sur le web un récit avec la plénitude que le cinéma ne pouvait sans doute pas lui permettre. Parce que, finalement, ce modèle webdocumentaire est autrement plus cinématographique que la version linéaire diffusée à la télévision. Si une telle confession au long cours n’est évidemment pas une forme de représentation documentaire nouvelle, elle acquiert dans ce webdoc une force inédite.

Un trabajo de años de investigación periodística, in situ y de máximo riesgo. Admirable, y os invitamos a ver con calma todo este material, y difundirlo.

Lets look at “Alma” the medium is simple. There is a documentary, and an iBook and it is available on the web. There is the story of Alma, former member of a violent crime gang. The documentary has relatively simple structure. Simple is good in this format. It is based on 2 screens. main screen which is always available presents medium close frame of Alma reliving the brutalities of her past life. She is simply lit with dark background. The alternative second screen shows up above Alma’s head. The framing and lighting of Alma allows the screen to be split in half, pulling in the frame from above to present us with underlying imagery and breaking the monotony of looking at a “talking head’. It is possible to see both at a single screen or shift focus from one to another. Being online, you can replay or fast forward through the story. You are not locked into single medium. But it is impeccably shot and the sound is well designed.

Primer de tot, des de Huacal volíem agrair a les desenes de persones que han assistit aquests tres dies a les Jornades formatives “Maras a Centreamèrica vs. Bandes Llatines a Catalunya” que van tenir lloc a Barcelona i molt especialment als ponents que ens han acompanyat i presentat les seves experiències i reflexions: Verónica Reyna, José Luís Sanz, Santiago Herrero, Pau Coll, Miquel Dewever-Plana i Isabelle Fougere.

ara inaugurar esta rúbrica sobre documentales interactivos dirigida a un público hispanoamericano, queríamos empezar con un homenaje a “Alma, hija de la violencia”, el documental interactivo más aplaudido por los profesionales de la industria en 2012. Es una obra colectiva, firmada por el fotógrafo Miquel Dewever-Plana y la periodista Isabelle Fougère, que contaron con la producción de Arte Francia, Upian y la agencia Vu. Ganador del prestigioso premio World Press Photo al mejor documental interactivo, laureado por el IDFA Doclab de Amsterdam como mejor obra interactiva, los reconocimientos son unánimes. Vamos a realizar un análisis de este éxito made in Francia.

Estremecedor documental, que tiene como hilo conductor la vida de Alma joven de 26 años y como piedra angular su confesión a puerta cerrada. Desde su infancia hasta su integración y su vida en el seno de una mara, sin enmascarar nunca la verdad ni la violencia.

Le 1er février dernier, le jury du World Press Photo a décerné le prix du meilleur Webdocumentaire à « Alma, une enfant de la violence », de Miquel Dewever-Plana et Isabelle Fougère.

Terrible documental web del fotógrafo de la agencia VU Miquel Dewever-Plana y de la periodista y escritora Isabelle Fougère.

Adventure game books - where readers could make decisions about what happened to the characters - formed a big part of childhood for many adults. Now it seems this is taking a technological leap forward.

La confession sans fard, les yeux dans les yeux, d’Alma,
 qui a appartenu pendant 5 ans à l’un des gangs 
les plus violents du Guatemala, pays aujourd’hui décimé 
par une guerre qui ne dit pas son nom.

Alma a appartenu pendant 5 ans à l’un des gangs les plus violents du Guatemala, pays aujourd’hui décimé par une guerre qui ne dit pas son nom. Une confession sans fard, les yeux dans les yeux. Un témoignage unique, dans lequel les mots de la jeune femme ouvrent sur les images de ses souvenirs, du quotidien du Guatemala et de l’intérieur des gangs.

Du point de vue de l'editing, Alma, une enfant de la violence est aussi une petite révolution: chacun peut désormais s'approprier l’œuvre en l'intégrant directement sur son site, comme nous l'avons fait ci-dessous. L'audience est comptabilisée à la fois par Upian et par le site qui héberge les "embed". Alexandre Brachet a flairé la bonne idée. 42% du trafic sur le Web documentaire est généré par les sites qui l'ont "embedé" sur leurs pages. "La vraie révolution d'Internet, c'est l'hypertexte", insiste-t-il.

Aucune forme de création artistique n'est étrangère à Télérama qui entend, chaque semaine, partager le meilleur de la culture avec ses lecteurs. C'est pourquoi, en partenariat avec Arte, notre magazine est fier de proposer, pour la première fois, un webdocumentaire en accès direct sur le site Télérama.fr. En découvrant Alma, une enfant de la violence, nous avons été saisis par la force du témoignage de cette jeune femme, ex-membre d'un gang guatémaltèque. L'intensité de l'histoire, le talent et le sens du récit de ses auteurs, tout était réuni pour donner à la rédaction de Télérama l'envie d'accompagner cette œuvre remarquable pour la faire découvrir à tous.

Le webdocumentaire Alma, une enfant de la violence dont Télérama était partenaire a été primé par le World Press Multimedia. Ce webdocumentaire a été réalisé autour du témoignage d'Alma, jeune femme ex-membre du gang le plus violent du Guatemala qui l'avait quitté au péril de sa vie.

Aujourd'hui, je ne chronique pas Aix en Provence. Je vous envoie ces images du Guatemala, qui m'ont touchées. Je pense que, malgré la dureté du propos, le partage de celui-ci est essentiel. Au passage, le site a également des modules très bien faits, pour en savoir plus sur la situation du pays.

Il docuweb che racconta la storia di una giovane guatemalteca riuscita a venire fuori da una delle gang più violente del Paese vince il DocLab award for digital storytelling 2012.

Entre 2010 et 2012, j’ai participé à la création de ce web-documentaire avec l’Agence VU, UPIAN et Arte. Une projet réalisé par le photographe Miquel Dewever-Plana et la journaliste Isabelle Fougère.

Plongez dans l'histoire d'Alma qui a appartenu pendant 5 ans à l'un des gangs les plus violents du Guatemala, les Maras. Ce témoignage unique et cru nous fait découvrir l'intérieur des gangs.

Eine andere Form der Interaktivität bietet die Geschichte „Alma. Ein Kind der Gewalt“. In diesem von arte produzierten Beitrag kann man zwischen unterschiedlichen Bildebenen entscheiden, während das Interview mit der Guatemaltekin Alma, die als Mitglied einer brutalen Bande fünf Jahre lang mordete, aus dem Off weiter zu hören ist. Almas hübsches Gesicht als Gegensatz zu ihren hässlichen Worten und immer wieder kurze Filmsequenzen, die wie Gedanken über Almas Kopf hängen – diese Web-Reportage kriecht einem mit all ihren Erzählsträngen unter die Haut.

Außerdem fehlen natürlich viele Optionen, z.B. gibt es Experimente wie die Webdoku Alma, bei der der Leser interaktiv das Medium (in diesem Fall die Bildebene) ändert, aber nicht den Erzählstrang. Oder Wechsel zwischen den Medien (z.B. vom Text zum Video), bei denen der Ich-Erzähler seine Vermittlung über den Bruch hinweg fortführt.