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February 2007

CNN soulève l'affaire d'un député irakien impliqué dans des attentats contre la France et les Etats-Unis - Le Blog de Noel Basile

Un homme condamné à mort au Koweit dans le cadre du procès sur le double attentat perpétré en décembre 1983 contres les représentations diplomatiques française et américaine à Koweït City fait partie de la majorité parlementaire qui soutient le gouvernement irakien actuel. L'information a été divulguée hier par CNN qui a interrogé Nouri El-Maliki sur ce sujet embarrassant; pour le premier ministre irakien "le parlement ne doit pas être un abri pour les hors-la-loi ni les gens recherchés" remettant toutefois aux députés eux-mêmes la responsabilité des mesures à prendre dans cette affaire.

September 2006

Un journal égyptien critique violemment la France pour sa politique au Proche-Orient

Al-Wafd, organe de presse du principal parti d'opposition en Égypte, reproche à Paris son engagement pour résoudre la crise entre Israël et le Liban Le quotidien cairote édité par l'un des plus anciens partis politiques égyptiens, le parti Al-Wafd, a publié hier vendredi un violent article appelant ses lecteurs à se méfier de la France, «qui prétend être l'ami de notre nation arabe et musulmane et vers laquelle nos dirigeants se tournent à chaque moment difficile», écrit l'un de ses éditorialistes accusant Paris d'être «en réalité, le planificateur des catastrophes et des tragédies» qui frappent la région du Proche-Orient.

Oussama Ben Laden ou Hassan Nasrallah , lequel est-il le plus dangereux pour la France ? - Le Blog de Noel Basile

L'annonce par le groupe terroriste Al Quaida qu'il a enrôlé le GSPC algérien (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) et les menaces qu'il profère contre la France ne sont pas de nature à rassurer même s'«il n'y a là rien de nouveau», comme l'a déclaré hier soir Nicolas Sarkozy sur France2. En effet, Al Quaïda a classé la France parmi les pays «mécréants» désignés comme cibles depuis l'interdiction du foulard islamique à l'école. Par ailleurs, les Salafistes algériens avaient depuis plusieurs années fait des offres de service à Ben Laden, sans succès car soupçonnés d'être infiltrés par les services secrets d'Alger, avant d'être «incorporés» en 2003 puis appelés à agir cette semaine par Ayman Al-Zawahiri. Le seul élément récent, c'est bien évidemment l'envoi de soldats français au Sud Liban conformément à la résolution 1701 des Nations Unies. On peut donc estimer que cet engagement militaire au Proche-Orient est désormais évalué, pas pour le mêmes raisons, par deux hommes aux portraits largement diffusés sur nos écrans de télévision: Oussama Ben Laden et Hassan Nasrallah. Les deux arborent turbans%2

Cinquième anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 - Le Blog de Noel Basile

Tout le monde se souvient de ce qu'il faisait le 11 septembre 2001. Chacun se demande aussi, cinq ans après et en ce jour anniversaire, où en sommes nous aujourd'hui? Nous qui nous disions le jour de l'immense drame, ''nous sommes tous des New-yorkais''. Le respect de la douleur ravivée dans le coeur des Américains en ce temps de commémoration incline à la circonspection. Néanmoins, ce sont eux qui nous invite à délibérer lorsqu'ils préviennent, par sondage interposé, qu'ils sont 3 sur 5 à penser que George Bush a fait davantage pour recruter de nouveaux kamikazes à travers le monde que Ben Laden ne pouvait en espérer avec ses

August 2006

Complot déjoué par la police britannique: quels enseignements ?

Complot déjoué par la police britannique: les enseignements à en tirer Le Royaume-Uni a déjoué hier, à quelques jours voire – selon certaines sources - à une poignée d’heures, un projet d’attentat de l’ampleur du 11 septembre visant à faire exploser plusieurs avions de ligne en vol au dessus de l’Atlantique. Ce complot qui fait froid dans le dos et surtout son évitement béni permettent, une nouvelle fois, de mettre en évidence la prééminence du renseignement sur les autres formes de lutte contre le terrorisme. Le travail ordonné des services secrets britanniques et l’alerte émise, à point nommé, par leurs homologues pakistanais sur l’imminence de l’attentat ont permis d’écarter le danger. Les accusations impliquant Al-Qaida démontrent, a contrario, les limites de l’approche américaine de la Guerre contre la terreur (Global war on terror) établie par l’administration Bush depuis le drame des Tours de Manhantan. Oussama Ben Laden a beau être traqué, affaibli, isolé quelque part dans les zones tribales inaccessibles à la frontière afghano-pakistanaise, son réseau ectoplasmique n’est pas éliminé. Et pour cause, il n’a pas besoin de chef pour montrer sa face hideuse à intervalles réguliers. Le 11 septembre 2001, les Américains s'étaient demandés « pourquoi ils nous haïssent tant ?». La question restera d’actualité tant qu’elle alimentera les esprits faibles, d’Islamabad à Londres, nourris au discours messianique de Ben Laden et consorts, comme les individus arrêtés dans le coup de filet d’hier et qui seraient selon les premières informations des citoyens britanniques d’origine pakistanaise. Ces esprits sous influence prêts à mourir en martyrs pour infliger une désolation à l’Amérique et à son principal allié, le Royaume-Uni. La réponse implique l’Occident tout entier mais dépend d’abord des Etats-Unis. Pour gagner sa Guerre contre la terreur qu’il qualifie désormais de lutte contre les « fascistes islamiques », George Bush doit tarir les sources de ce totalitarisme du XXIe siècle. Arrêter ou tuer Ben Laden ne suffira pas aussi longtemps que le sentiment prédominant dans le monde musulman est que l’Amérique traite inéquitablement les Palestiniens, fait tord à l’Irak ou méprise ses alliés arabes, dont l’Arabie Saoudite, lorsqu’ils tentent d’infléchir son soutien inconditionnel à Israël dans son entreprise de destruction du Liban. Pour cela l’Amérique doit s’inscrire dans un processus global beaucoup plus complexe que l’affrontement frontal ou la vision hégémonique. Un processus où la France sera son meilleur conseillé et.. ami.