2010
Le mariage de l'info et du jeu vidéo - LeMonde.fr
by 1 otherL'équipe d'Upian ne s'arrête pas là : dans la foulée, elle développe un mini-jeu sur Dominique Strauss-Kahn et l'affaire de la MNEF ou un autre sur les déboires de Paco Rabanne avec la presse. "A l'époque, nous, on appelait ça des 'galettes', entre autres parce que c'était des petits trucs à servir chaud", se souvient Alexandre Brachet. "On n'avait pas l'impression de faire des jeux vidéo ; moi, je n'ai pas du tout cette culture-là. Mais on se disait qu'un dessin de presse, sur Internet, ça devait forcément être interactif !"
Webdocu : Quand le journalisme se réinvente sur la toile : Reporter
De son côté, plus discrètement, Upian, agence web historique, élaborait avec Lacitedesmorts.net et Thanatoram de nouvelles formes éditoriales basées sur l'interactivité avec les internautes. S'ils sont alors plus artistiques que journalistiques, ces ovnis multimédias sont sans doute les premiers webdocumentaires de "prestige" produits, posant les bases d'un modèle économique pour ce type de création en obtenant des aides du CNC.
2009
Le web-documentaire, nouvelle forme de récit journalistique - Miscellanees.net - blog prolixe pub, marketing & conso, high tech, innovations
Les premiers web-docus ? L'un des plus attendus pour 2010 en France est "Prison Valley", un webdoc dans le couloir de la mort. "Prison Valley", co-produit par Arte.tv et Upian.com, passe au crible l'"industrie carcérale" aux Etats-Unis. Réalisé par les journalistes David Dufresne et Philippe Brault, ce docu multimédia nous entraîne dans les couloirs d'un complexe carcéral du Colorado constitué de 13 prisons, dont Supermax. A la clé, un budget de 200 000 €... et donc similaire à celui d'un docu télé classique. Un site trailer (ici, donc) et une bande-annonce en présentent déjà un avant-goût.
FRESH -> the Hive, L'agence Upian
A la fois studio de création et société de production, Upian accompagne les marques et les sites médias dans leur stratégie Internet. Crée en 1998, elle produit également des contenus culturels et indépendants tels que des web documentaires ou presidentielles.net.
Le web-doc, un renouvellement du genre documentaire
Les premiers web-doc sont l'oeuvre de sociétés indépendantes, comme l'agence Upian, pionnière dans ce domaine, qui a produit "La cité des mortes" sur la disparition des femmes à Ciudad Juarez au Mexique. Côté télévision, Arte, la chaîne culturelle franco-allemande, a été précurseur en participant avec Upian au projet "Gaza/Sderot", où l'on suit la vie d'une dizaine de personnes des deux côtés de la frontière, en Palestine et en Israël.
Avec les Web-documentaires 2.0, une nouvelle écriture @udiovisuelle est en marche :
Le web-documentaire est resté un genre sous exploité pendant longtemps, parce que mal défini puisqu’il se trouve aux frontières de la web tv, du magasine en ligne ou du journal de bord. Aujourd’hui la donne a changé. On trouve des réalisations percutantes et créatives travaillés avec les nouveaux outils multimédia, textes, images, vidéos… une manière de mettre les nouvelles technologies au service de la connaissance et d’un point de vue.
Le Web-docu tisse sa toile sur 20minutes.fr
Une évolution qu'Alexandre Brachet d'Upian a constatée avec ses propres productions. « En 2002, avec La Cité des mortes, on essayait d'utiliser des contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis, dans Thanatorama, on a introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros... mort ! Enfin, avec Gaza/Sderot, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces villes, avec, par exemple, une frontière entre deux écrans sur le site. » Upian développe Canon City, un Web-docu sur les prisons américaines, « où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes car je pense que le Web-docu doit être une oeuvre collective ». Et donc, en progrès.
N°2 : dans les entrailles d’Upian - Webdocu.com
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.
SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM
(via)Le webdocumentaire au CFPJLab « HemispheriqueS
(via)Le 28 avril, le CFPJ Lab proposait une rencontre professionnelle autour du webdocumentaire, une nouvelle occasion de faire partager l’expérience acquise lors de la réalisation de lacitedesmortes.net en collaboration avec la société Upian. Pour ceux qui n’étaient pas là, un rapide résumé réalisé par nos hôtes et l’occasion de découvrir la brillante prestation de Joël Ronez, responsable web de la chaîne Arte.
Les Inrockuptibles - 20/01/09 : Quoi de neuf, doc ?
Avec le net, le documentaire explore d'autres voies et enrichit sa grammaire : adaptation de livre, témoignages, vidéoblogs ou conte interactif.
L'internet constitue le médium parfait pour raconter des histoires. Alexandre Brachet, producteur
Η βιομηχανια του εφημερου: Gaza Sderot - Life in spite of everything
(via)Όταν οι παραγωγοί σχεδίαζαν το τέλος των γυρισμάτων στις 23 Δεκεμβρίου του 2008 μάλλον δεν υποπτεύονταν ότι το δράμα θα ακολουθούσε λίγες μέρες μετά. Διαισθανόντουσαν όμως ότι αργά η γρήγορα θα συνέβαινε. Η αναμονή του μοιραίου διαφαινόταν στα πρόσωπα των ηρώων...
2008
LA MACHINE À SENS WEBDOCUMENTAIRE
by 1 other"Les Yeux dans l'Ecran", une série documentaire de Julien Gaurichon.
Avec Ana-Maria de Jesus, Upian et le Web flash festival (Nicolas Gans et Guylaine Monnier).
Accompagnant l'essor d'Internet, une nouvelle forme de documentaire a vu le jour sur la toile : le webdocumentaire. Informant le spectateur/surfeur de façon inédite, il permet une interaction avec le visiteur que n'offrent pas les autres médias comme la télévision ou la radio. Spécialistes du Net et concepteurs de webdocumentaires nous font découvrir ce moyen de communication révolutionnaire, entre oeuvre d'art et source d'informations.